dimanche 17 juillet 2016

Les cinq sens

Aujourd'hui, nous allons parler de sens. Voici un texte mettant en vedette chacun des sens, à tour de rôle. Ce texte se base sur un souvenir. Lorsque j'étais plus jeune, j'ai visité un parc Forestier avec un groupe d'enfant dont j'étais la monitrice.
Bonne lecture !

Nous y voilà. Je dois garder à l’œil chacun de ces chenapans. Heureusement, je n'en ai que huit. Je pourrais peut être un peu me concentrer sur ma visite. Nous voici dans la forêt. Ce qui me frappe en premier lieu, c'est le raffut des perruches. On se croirait au salon de thé. Et ça piaille ! Avec leur petite voix aigrelette, je les imagine bien se raconter les derniers ragots.
Nous avançons, et Mathilde me tient la main. Elle est moite. Il faut dire que nous sommes en plein été, et pas des plus doux. Le dos de ses mains, lui est doux. Une petite peau toute neuve d'un enfant qui n'a pas encore vécu. Elle me sourit. Elle est si heureuse d'être ici.
Nous arrivons à l'enclos des roussettes. Nous ne les voyons pas encore, mais je suis certaine qu'elles ne sont pas loin. Elles dégagent une telle odeur ! Comment de si petites bêtes peuvent puer autant ? Je me demande si Batman fouette de la sorte.
Nous faisons une halte pour manger. Le sandwiche fourni par le centre aéré est au jambon. Ce n'est pas du premier choix, mais ça fera l'affaire. Par contre, les cuisinier ont mis beaucoup trop de beurre. C'en est presque écœurant.
La visite s'achève sur l'enclos des singes. Mon regard s'arrête immédiatement sur la copulation de deux d'entre eux.
- Maîtresse, qu'est ce qu'ils font ?
Qu'est-ce que je vais bien pouvoir leur dire ? Pas le temps de réfléchir, huit paires de mirettes sont braquées sur moi. Je balbutie :
- Ils...heu...jouent. Bon, on y va ?

Je ne suis pas très convaincue. Qu'en dites-vous ?

dimanche 10 juillet 2016

Homonymes

Jouons les mots ! Aujourd'hui, attaquons-nous aux homonymes. Nous allons nous situer dans la fable La cigale et la fourmi et la réécrire en intégrant les mots suivant :
mur, mûr, chaîne, chêne, sot, sceau, seau et saut.
Avant de commencer, une petite définition de chacun de mots, histoire d'être tous sur la même longueur d'onde :
mur : Ouvrage de maçonnerie plus ou moins vertical qui sert à soutenir une structure ou à bloquer le passage.
mûr : Qui a atteint un état de développement avancé, qui est en état d'être récolté.
chaîne : Lien ou ornement fait d'une suite d'anneaux appelé des maillons.
chêne : Grand arbre robuste des forêts tempérées, à bois dur et résistant, à tronc crevassé, à feuilles lobées et à fruits à cupule appelés glands.
sot : Qui est peu ou pas intelligent.
sceau : cachet sur lequel est gravé le symbole d'une autorité et qu'on applique sur un acte pour l'officialiser. Soutenu : Caractère distinctif.
seau : Récipient cylindrique à anse, de taille moyenne.
saut : Action de sauter.

Maintenant que tout est à plat, c'est parti ! Bonne lecture !

Germaine, la cigale, était une grande chanteuse. Elle adorait fredonner du haut de son mur tandis que ses voisines fourmis travaillaient. Elle aimait regarder leur chaîne de vivres retournant à la fourmilière. Mais lorsque l'hivers vint, Germaine n'avait plus rien à se mettre sous la dent. Elle décida de rendre visite à son voisin, Lucien, qui vivait dans un chêne non loin. D'un saut, elle se rendit chez Lucien la fourmi. Elle frappa. Lucien vint ouvrir.
- Oh mon ami ! J'implore ton aide. Plus rien n'est mûr et j'ai faim. Je vois au loin, dans ta cuisine, un seau rempli de vivres. Serais-tu assez aimable pour les partager avec moi ?
Lucien, exaspéré par l’indolence de son interlocutrice, demanda :
- Pourquoi veux-tu de mon butin ?
- Comprends-tu, j'ai froid, et manger me réchauffera.
- Et que faisais-tu lorsque moi je stockais ?
Germaine gonfla la poitrine et s'écria de toute sa joie :
- Mais je chantais, évidemment !
C'en était trop ! La réponse de Lucien fut sous le sceau de la colère :
- Tu chantais ? Je serais bien sot de t'offrir l’aumône ! A présent, si tu veux te tenir au chaud, tu n'as qu'à danser !


Qu'en dites-vous ? Le pari est relevé ? A votre tour !

dimanche 3 juillet 2016

L'expression

Aujourd'hui, le thème de notre jeu d'écriture est l'humour. Je suis très mal à l'aise avec cet exercice. Je suis loin d'être un bout en train. Mais soit, essayons. Il va s'agir ici de prendre une expression et la prendre au pied de la lettre. Casser la croûte me dit bien, mais je sens que cela va être plus dégouttant qu'amusant.
J'ai finalement fait mon choix, mais je ne vous dit rien, cela casserait ma chute. Par contre soyez indulgent, j'ai le sentiment que ce sera un exercice difficile.
Bonne lecture !

Je dois aller au lycée. Je déteste le lycée. Non, j'adore le lycée, mais je déteste mes camarades. Ils me traitent comme un idiot. Toujours à me faire de mauvaises blagues.  Qu'auront-ils trouvé aujourd'hui ? J'arrive devant l'établissement. Beaucoup d'entre eux me disent bonjour en me tapant dans le dos. Ils me font mal. Quelle bande de brute ! Et j'ignore pourquoi, je n'arrête pas de me faire attaquer par des oiseaux. Sans parler de ces fourmis qui me piquent. Quelle est cette journée ? Pourquoi tout y est si étrange ? Je remarque une petite poudre sur le sol. Je la ramasse, la goutte et m'écris, rouge de colère :
"Arrêtez de me casser du sucre du le dos !"

A mon tour de vous défiez, saurez vous produire quelque chose de drôle avec cette expression ?

dimanche 26 juin 2016

Une journée dans la vie de Patrick et Jane

Me revoilà après une longue période d'absence. Je me suis éloignée pour plusieurs raisons, mais finalement peu importe. Je suis retour et j'ai pleins de nouveautés dans ma besace !
Pour commencer je vais reprendre les jeux d'écriture. Puis, je vais également publier un chapitre par semaine du Grimoire.
C'est parti pour le jeu de la semaine :

Aujourd'hui, un petit stimulus d'imagination. Nous allons changer une loi, juste une, et voir les conséquences. Un peu comme Benjamin Button ou American Nightmare.
Il serait trop tentant de reprendre le changement d'un de ces deux films, alors nous allons choisir totalement autre chose. Dans notre histoire, l'Homme n'aura jamais eu le libre arbitre. Si la bible nous raconte comment l'Homme a quitté le règne animal pour devenir un être doué de libre arbitre, imaginons ce qu'il nous serait arrivé si nous n'avions pas croqué dans cette pomme.
Avant que je commence, notez que je suis en ce moment dans le visionnage de la série Mentaliste et cela m'amuse beaucoup de me laisser tenter et d'appeler mes personnages Patrick et Jane.
Bonne lecture !

Les premières lueurs éclairèrent l'entrée de la grotte. Jane ouvrit les yeux. C'était le matin. Elle devait se lever et aller cueillir des fruits pour le premier repas de la journée. Le petit dormait encore, mais il n'allait pas tarder à se réveiller. Un peu plus loin, elle aperçu une femme plus vieille. Elle n'était pas en mesure de partir à la cueillette.
- Annette ? Je dois y aller, tu peux le garder, s'il te plait ?
La vieille fit apparaître un sourire édenté, signe qu'elle acceptait.
Jane arriva dans le verger voisin. D'autres femmes cueillaient des fruits. Elles se sourirent, parlèrent. C'était le rendez-vous du matin. Une fois le panier plain, chacune rejoignit son habitation, que ce soit une grotte ou un abris construit à l'aide de feuillages. Ils vivaient en troupeaux non éloignés les uns des autres afin d'être plus efficaces contre les prédateurs. Les plus haut placés dans la hiérarchie vivaient dans des grottes. Certaines familles vivaient à plusieurs dans la même grotte.  Jane, épouse du chef de meute, avait la chance de vivre seule avec sa famille.
Lorsqu'elle revint chez elle, Patrick et le petit parlaient avec la vieille Annette. En remerciement de son service, Jane partagea sa récolte.
Alors avoir englouti leur repas, Patrick partit organiser la pêche et la chasse quotidienne. Jane, emmena son petit au bord de la rivière afin de puiser de l'eau pour la journée, comme à son habitude. Mais ce n'était pas une journée ordinaire. Aujourd'hui, Jane devait mettre bas. Elle avait commencé à sentir les premières contractions ce matin là. Elle en avait déjà eu d'autres, elle n'en était pas inquiète. Mais alors qu'elle terminait de ramener ses deux seaux d'eau, Jane sentit que c'était le moment. Elle confia de nouveau le petit à Annette, et alla se réfugier au fond de sa grotte avec l'un des seaux d'eau. Elle fut en travail pendant une demi-heure. Une longue demi-heure. Lorsque l'enfant naquit, elle le nettoya et mit le placenta de côté. Il lui permettrait de reprendre des forces après ce long effort. Elle mit le bébé au sein et dévora son placenta. Petit à petit, elle sentit la vitalité revenir. Son bébé dans son giron, elle s'autorisa à s'endormir. Ce fut le pas de Patrick qui la réveilla. Elle voulu l'éloigner, de peur qu'il ne s'en prenne à son enfant. Mais il se montra imposant, lui rappelant qu'il était le chef. Malgré tout, elle était prête à tout pour protéger son nouveau petit.
Patrick se pencha au dessus du nouveau né. Il l'observa minutieusement. Il reconnut ses traits. L'enfant pouvait vivre. Il donna à Jane un poisson, fruit de la pêche du jour. Après le repas, ils s'endormir alors que le soleil se couchait à peine. Jane, sur le point de sombrer dans les bras de Morphée, pensa que demain, elle devrait se lever pour la cueillette. Où avait elle rangé le panier de transport du nouveau né ? Ah ! oui. Elle s'en souvenait.

Qu'en pensez-vous ? Est-ce réaliste ? Selon vous, où en serions-nous après tout ce temps d'évolution ?

vendredi 7 septembre 2012

Les fautes

Salut à tous !

Je viens de relire mon article présentant Cyrus et y découvrir des fautes étonnantes, signe de fatigue. Je m'excuse auprès de vous pour ce genres de fautes. Mes pensées vont plus vites que mes doigts, et quand je suis fatiguée, ça donne des phrases incompréhensibles. Et je n'ai pas le réflexe de me relire. Je n'aime jamais relire ce que je viens juste d'écrire, et j'ai toujours envie de publier rapidement. Donc, je m'excuse auprès de vous.

Bonne lecture ! ;)

mardi 4 septembre 2012

Cyrus

J'ai eu envie d'écrire une cyber nouvelle. Elle s'appelle Cyrus. Je ne vous dis pas de quoi ça parle, je vous laisse découvrir. Le premier chapitre est publié et d'autres s'ajouteront. Je ne met pas d'échéance, l'inspiration n'est jamais à l'heure aux rendez-vous. Alors il va vous falloir revenir de temps en temps ou me suivre sur twitter ou google+ pour savoir quand il y aura une suite ;)
Comme d'habitude, dites-moi ce que vous en pensez, et ce que vous imaginez pour la suite.

En tout cas, bonne lecture à vous !

Edit : Finalement, j'ai perdu l'inspiration pour ce projet. Mon unique texte rejoint la rubrique Just For Fun.
Mais ce n'est pas grave. C'est aussi cela l'écriture !

La faiblesse de Leïla

La faiblesse de Leïla

  Avec tout ce rouge, on pourrait repeindre le salon... Mais le sang sèche vraiment très mal. Ce magnifique rouge deviendrait brun, comme sale. Alors qu'humide, il est d'une couleur si attirante, si belle, réconfortante quelque part. Est-ce parce que la première chose que l'on voit dans le ventre maternel est cette même couleur rouge ? Les mains serrées autour de la plaie, Leïla ne pensait pas à tout cela. Elle ne se sentait pas non plus réconfortée. Elle était terrifiée et effondrée. Il fallait qu'il s'en sorte. Pas seulement pour la mission, mais pour elle aussi. Oh, elle savait qu'après tout cela elle ne pourrait jamais le revoir. Mais peu importait. Il devait survivre coûte que coûte. Et elle ne connaissait qu'une seule personne qui pouvait le sauver. Son téléphone était dans son soutien gorge. Elle le sortit et appela :
- Liam ?
- Leïla ? Tu pleurs ?
- Liam j'ai fait une...quelque chose ne va pas.
- C'est Hopkins qui gère ce types de problèmes. Et si ça concerne des...comment tu dis "woman issues" ?
- Des problèmes féminins.
- Oui bah, t'as un docteur pour ça.
- Un gentleman n'est pas censé porter secours aux demoiselles en détresse ?
- Tu n'es pas une demoiselle. Quant à ta détresse, je ne suis pas qualifié pour t'aider.
- Liam, ramène tes fesses ici, et maintenant ! Il est en train de mourir.
- Dimitri ? Bon sang mais tu ne pouvais pas le dire plus tôt ? Je t'ai sur mon GPS, j'arrive.
Il ne lui fallut que deux minutes pour arriver, mais elles semblèrent durer deux heures pour Leïla. Lorsque Liam pénétra dans la pièce, il se figea. L'homme étendu devant lui n'était pas celui auquel il s'attendait.
- Qui est-ce ?
- C'est le sujet.
- Tu as perdu le sujet ?
Il était à la fois si en colère et si effrayé.
- Non. Parce que tu vas lui sauver la vie...n'est ce pas ?
Il sortit ses outils.
- Pourquoi tu sors une lame ? Il est déjà ouvert. Et tu ne lui donne pas quelque chose contre la douleur ? Pourquoi tu ne l'endors pas ?
- Leïla, coupa Liam. Sors de mon bloc improvisé. Je sais comment sauver une vie ! Tu reviendras lorsque je l'aurais tiré d'affaire. En attendant tu devrais aller faire ton rapport à Hopkins.
- Non ! Pas un mot à Hopkins.
Il la jugea un instant.
- On en reparlera. J'ai une vie à sauver.
Dans la cuisine, elle tourna comme un lion en cage. Le temps s'égrainait à une vitesse si misérable qu'elle eut l'impression qu'elle vieillissait à vue d'oeil. Mais finalement, Liam entra.
- Il est en vie. Il va s'en remettre.Mais je pense que tu devrais laisser cette affaire à Dimitri. D'ailleurs où est-il ?
- Sur une autre affaire.
- Depuis quand vous vous la jouez en solo ?
Elle ne répondit pas.
- Je vois, un teste d'Hopkins. Me trompe-je ou tu t'es vraiment attaché au sujet ?
- Brian ! Il s'appelle Brian, hurla-t-elle.
- Tu lui as donné un nom ? Tu sais bien qu'il ne faut pas les nommer. Pas de noms, pas de pourquoi, pas d'implication ! C'est la règle.
Elle explosa en sanglot. C'était la première fois qu'il la voyait si bouleversée. S'il n'avait pas été si en colère contre elle, il l'aurait prise dans ses bras pour la réconforter. Après un moment à pleurer, elle finit par avouer :
- Je ne l'ai pas nommé. Brian est son nom.
- Si Hopkins apprend que tu connais ton sujet tu...
- J'en ai rien à foutre ! Dis le lui si tu veux !
Il fronça les sourcils. Il avait déjà vu Leïla amoureuse. Elle l'était probablement de Dimitri. Cette fois, c'était différent.
- Qui est-il ? Qu...Qui est cet homme ? Que s'est-il passé ?

lundi 20 août 2012

Tautogramme

Et voici le cinquième et dernier défi (avant celui de demain) : le tautogramme. Derrière ce mot barbare se cache une contrainte d'écriture obligeant à utiliser des mots commençant par la même lettre dans une phrase ou un vers.Je sens que ça va être bien dur. N'hésitez pas à essayer et à partager votre expérience. Pour ma part, je vais juste faire quelque phrases. Une fois n'est pas coutume, je fais ma fainéante.

Sabine sort son sabre.
Elle entaille ensuite et éborgne.
Filicien fait fabuleusement face.
Boris, badaud, bâcle. (je sais bien que celle si a l'air d'une suite de mots au hasard, mais réfléchissez-y, dans un texte, ça tient)
Thierry tabasse ton tonton.


Cinq phrase, c'est déjà ça vous dirai-je. Je pense que vous me direz plutôt "c'est tout ce que tu as pondu ?" A cela je vous réponds : essayez et épatez moi !


Le mystère du croissant doré

Le but de ce quatrième défi est de lutter contre la page blanche. Je dois donc écrire une fiction éclair à partir de ce titre. Peu importe la cohérence, ou l'histoire, le but est d'écrire pendant cinq minutes sans lever les doigts du clavier. C'est parti ?

Je m'étais levé ce matin là avec cette phrase en tête "Le mystère du croissant doré". Qu'est ce que cela signifiait ? S'agissait-il d'un délire que j'aurais pu avoir en rêve ? Ou mon estomac me suggérait-il mon petit déjeuner ? Il fallait dans tous les cas que je creuse cette idée. Je me levai et me préparai à aller au travail. En prenant mes toats pour le petit déjeuner, je lisais le journal. La Une me sauta aux yeux "Le mystère du croissant doré". Un bijoux d'une grande valeur avait été volé dans le coffre d'une banque. Il avait une forme de croissant, était en or et incrusté de diverses pierres précieuses.
Une fois arrivé au travail, l'un de mes collègues me pointa le bureau du boss du doigt. Il voulait me voir. A peine étais-je entré qu'il m'avait mit l'article que j'avais lu ce matin sous le nez. Il me reprocha de ne pas être déjà sur l'enquête, d'avoir osé dormir cette nuit. Pourquoi le criminel n'était-il pas déjà dans nos cellules ? Parce que tout comme lui, mon corps me réclamait un quota d'heures de sommeil.
Je sorti et allai directement sur la scène de crime. Pas d'empreinte, pas de preuve, même infime. On ignorait comment il était entré, comment il était sorti. Tout ce que l'on savait, c'était que lorsque Madame Delfino était venu ce matin là et qu'elle avait réclamé à voir sa broche, elle n'était pas dans le coffre. Elle n'avait pas écrit sur le registre avoir retiré le bijoux du coffre. Selon moi, c'était un employer qui avait fait le coup. Le petit là bas, me semblait bien suspect. Il restait à l'écart, refusait de me regarder dans les yeux. Je n'eus qu'à l'intimider pour qu'il me balance le directeur de la banque. Ce dernier lui avait demandé de voler certains objets de valeur qu'on ne réclamait jamais afin de couvrir des dettes et d'éviter la faillite. Affaire classée.

Bon, ça fait six minutes. Qu'en pensez vous ?